Flic - flac, le pantin de bois Tire, tire la ficelle , Plic et ploc, Mademoiselle , Les bras, les mains et les doigts, Les jambes qui s'entrechoquent, Fli - flac, plic - ploc , tic et toc , Je gigoterai pour toi .
Flic - flac, tête en haut, en bas , Tire , tire la ficelle , Plic et ploc, Mademoiselle, Les yeux, le nez et les bras ! Qu'est-ce qui bat la breloque ? Flic - floc , plic - ploc , tic et toc , C'est mon petit coeur qui bat !
Je suis sévère mais je suis juste ! Hier soir, je rentre chez moi… qu’est-ce que j’apprends ! Que le chat avait mangé la pâtée du chien ! Dehors le chat ! Là-dessus, qu’est-ce que j’apprends ! Que le chien avait mangé la côtelette de ma femme ! Dehors le chien ! Là-dessus, qu’est-ce que j’apprends ! Que ma femme avait mangé mon bifteck ! Dehors ma femme ! Là-dessus, qu’est-ce que je découvre ! Que le lait que j’avais bu ce matin était celui du chat ! Alors, j’ai fait rentrer tout le monde et je suis sorti… Sévère mais juste !
Six rossignols insouciants sifflotaient à la cime d’un saule, sifflotaient de ci, sifflotaient de çà, quand deux rapaces foncèrent et raflèrent deux des six.
Quatre rossignols insouciants sifflotaient à la cime d’un saule, sifflotaient de ci, sifflotaient de ça, quand trois rapaces foncèrent et raflèrent trois des quatre.
Par une belle nuit d'hiver, Trois petits hommes verts Sont arrivés dans leur soucoupe.
Ils ont fait trois fois le tour de la Terre Dans le temps d'un éclair, Et puis ont atterri Au beau milieu d'une prairie.
Ils ont fait trois fois le tour du pré, Pour s'habituer à respirer Et puis ont avancé Vers le village d'à-côté.
Ils ont fait trois fois le tour de l'église, Pour une fusée l'ont prise, Et puis ont réveillé Les habitants qui dormaient.
Ils ont fait trois fois le tour des humains Qui claquaient des dents, tremblaient des mains, Et puis se sont adressés au maire Tantôt en prose, tantôt en vers.
Ils ont répété trois fois qu'ils ne font que revenir Sur cette terre, d'où ils partirent, Il n'y a pas si longtemps, A peine cent mille ans.
Ils ont redit trois fois qu'il y a dans l'univers Des milliers de planètes sans haine et sans guerre, Des mondes heureux et libres Où il fait très bon vivre, Et que les gens de par ici Sont vraiment leur seul souci.
Et les gens du village, Glacés, troublés, perdus, Sont alors devenus Les premiers hommes sages.
Il y a le vert du cerfeuil Et il y a le ver de terre Il y a l’endroit et l’envers, L’amoureux qui écrit en vers, Le verre plein de lumière, La fine pantoufle de vair Et il y a moi, tête en l’air, Qui dis toujours tout de travers.
La pie niche HAUT. L’oie niche BAS. L’hibou niche ni HAUT ni BAS. Où l’hibou niche ? DEVANT le gant ? DERRièRE la barrière ? DESSUS la tortue ? DESSOUS le matou ? DEDANS l’éléphant ? A GAUCHE de la cloche ? A DROiTE de la boîte ? Juste au MiLiEU entre les yeux ? MAiS Où L’HiBOU NiCHE ?
Un oiseau qui en pince pour une chouette… ne peut être que Là !
Tes chiffres sont arabes Ton écriture est latine Ta pizza est italienne Ta démocratie est grecque Ta voiture est japonaise Ta télé est coréenne Tes fringues sont chinoises Ton hamburger est allemand Ton thé est indien Ton café est brésilien Ta choucroute est chinoise Ton chocolat est suisse Ton coca est américain Tes frites sont belges Tes vacances sont espagnoles Ton sucre est martiniquais Et tu reproches à ton voisin d'être un étranger !
Surpris par la poudre à poux un pou pris de panique se jette dans le vide et plonge tout droit dans une pantoufle du pauvre David qui se demande pourquoi ce pou fou pique son pied droit.